
En écrivant Eden sur Seine, je m'étais laissé allé à imaginer le bandeau rouge (rouge, forcément rouge) qui barrerait la couverture : un roman politique, féministe et pornographique. Je songeais à l'efficacité mercantile d'une alliance entre ces concepts qu'à priori tout oppose : subvertir la pornographie pour en faire un vecteur des combats féministes. Il y avait là les bases de joutes passionnées.
A l'issue incertaine.
Et puis, je me suis apperçu à l'écriture, que je n'étais pas un pornographe littéraire.
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