28 février 2007
Interlude suite : soirée spéciale Punctum
Ci-dessous, une invitation à la Lucarne des écrivains...
Rendez-vous !
Littérature : entre amour et politique
Soirée à la librairie La Lucarne des écrivains
115, rue de l'Ourcq - Paris 19e - M° Crimée
le mercredi 28 février à 19 h 30
autour d'un apéritif
Présentation de Punctum, maison
d'édition lancée en 2005, à l'occasion de la parution de son 20e titre :
Éden-sur-Seine
en présence des auteurs
Olivier Berthelot, Éden-sur-Seine
(roman) - Présentation par l'auteur
Et si la quête de l’amour unique était au cœur de l’idéologie nouvelle ? Et si un film porno appelait à la grève mondiale des femmes ?
Un « roman vrai », politique, où les 30-50 ans retrouveront la scène de leurs désirs, de leur doutes, de leur combats.
Marie Dardenne, Bamako, là
(roman) - Présentation par l'auteur et lecture par Marie-B.,
comédienne
Une jeune étudiante quitte Paris pour trois mois, sur un pari ludique : écrire des fragments de sa ville natale à Oumar, son professeur. Elle apprivoise Bamako au gré d’un jeu de l’oie. À distance, se tisse une histoire d’amour, dans le décor d’une Afrique arrachée à ses clichés.
Constance Chlore, À tâtons sans bâton (roman) - Présentation et lecture par l'auteur
Deux jeunes amants en fuite. L’espoir d’une autre vie rêvée au cœur d’un monde rapace et sans pitié. Des personnages qui se croisent, s’affrontent, s’aiment, parfois. Une histoire de truands, de fous. Une écriture originale qui ne s’oublie pas.
Soizik Moreau, Jean-Victor Moreau, l’adversaire de Napoléon (biographie) et Napoléon et… Jean-Victor (théâtre) - Présentation par l'auteur et lecture théâtrale à deux voix
Farouche opposant de Napoléon, le général Moreau, républicain inflexible, a été forcé à l’exil. L’auteure retrace le parcours de deux hommes aux destins divergents. Elle éclaire d’une lumière crue l’épopée napoléonienne, et rouvre le procès d’un général jugé traître à sa patrie. Quand les valeurs républicaines dialoguent avec le pouvoir. Deux hommes, face à face. Un brillant hommage au général Moreau dont aucune rue française ne commémore le souvenir.