de l'art du raccourcis dans une lecture critique
En ces temps où les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent, me voilà de retour.
Et pour commencer, une critique d'Eden sur fluctuat.net imaginativement intitulée, "Eden-sur-Seine, pourquoi, pourquoi, pourquoi"
Il s'y trouvent quelques approximations (je ne vous en cite que deux) qui n'enlèvent rien à l'intérêt de sa lecture :
je ne sais pas au juste ce qui m'a fait lire cet Eden sur Seine
: le fait de l'avoir reçu sûrement, la référence à des thèmes
altermondialistes ou le name-dropping de noms réels intervenant dans la
trame du roman, qui me ramenait de fait à quelques obsessions
personnelles (Clémentine Autain en apparition fugitive, Jack Ralite et même Jack Lang,....).
Ceux et celles qui ont vu jack Lang dans Eden-sur-Seine gagneront une dédicace autour d'un verre !
la femme idéale d'Eiffel devient l'actrice (au bout de la page 10 - ce
qui déclenche l'autodestruction du concept et du livre)
Ceux et celles qui ont vu Absinthe jouer dans le film recevront un pass pour une visite privée de la tour Eiffel.
Et pour répondre à la question de notre critique (myosotis de son nom) , ce qui est sur c'est que pour avoir fait deux critiques à partir d'Eden-sur-Seine, décidément, c'est qu'il doit bien y avoir quelque chose qui cloche la dedans!
Moi, je serai vous, cher-e-s lecteur-ices, je vérifierai par moi même.
Olivier
Voir la deuxième critique en vous interrogeant sur la raison qui a poussé son auteur à tronquer la citation qu'il s'amuse à démonter (avec brio, il faut le dire). Le morceau manquant : Sisyphe pouvait maudire sa pierre ménagère, Absinthe n'en avait cure.