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eden-sur-seine
20 janvier 2008

Amazon, ou la gratuité à géométrie variable (réponse à Thierry Wolton)

J'ai envoyé au Monde une réponse à l'article de Thierry Wolton qui accuse de corporatisme et de poujadisme le syndicat des librairies française pour leur victoire judiciaires contre Amazon.

En voici un extrait (de ma réponse) en avant première pour mes ami-e-s lecteurs.

Amazon permettrait de trouver des ouvrages épuisés ? Oui, mais alors… fi,  de la gratuité ! Il s’agit en effet le plus souvent d’ouvrages vendus par des tiers sur la plate-forme « Marketplace » d’Amazon, et l’envoi d’un livre y est alors facturé 2,99 € l’ouvrage… Amazon pratique la gratuité sur les seuls ouvrages dont il dispose en direct, et, non pas dans la généralité des matin_bruncas, sur les ouvrages épuisés. La gratuité pour les best sellers, le paiement pour les autres… Et voir même pour les best sellers…lorsque leur prix est faible : essayez donc d’acheter « Matin Brun » de Franck Pavloff sur Amazon : cet ouvrage n’est pas épuisé, et pourtant, impossible de l’acheter sans passer par la plate-forme Marketplace et donc avec des frais de port…

A suivre dès que j'aurai pris le temps de supprimer le lien Amazon sur le côté là à droite (promis : en attendant tout profit généré par ce lien ira sous forme de don à l'association des librairie française, ah mais !)

Olivier

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Commentaires
S
ben tu as enlevé le deuxième message... tu ne voulais pas que d'autres le lisent?
S
...<br /> <br /> <br /> il n'aurait fallu<br /> qu'un moment de plus<br /> pour que la mort vienne<br /> mais une main nue<br /> alors est venue<br /> qui a pris la mienne<br /> <br /> qui donc a rendu<br /> leurs couleurs perdues <br /> aux jours aux semaines<br /> sa réalité<br /> à l'immense été <br /> des choses humaines<br /> <br /> moi qui frémissais<br /> tjrs je ne sais<br /> de quelle colère<br /> deux bras ont suffi<br /> pour faire de ma vie <br /> un grd colier d'air<br /> <br /> rien qu'un mouvement<br /> ce geste en dormant<br /> léger qui me frole<br /> un souffle posé<br /> moins qu'une rosée<br /> contre mon épaule<br /> <br /> un front qui s'appuie<br /> à moi dans la nuit<br /> deux grands yeux ouverts<br /> et tout m'a semblé<br /> comme un champ de blé<br /> dans cet univers<br /> <br /> un tendre jardin<br /> dans l'herbe où soudain<br /> la verveine pousse<br /> et mon coeur défunt<br /> renait au parfum<br /> qui fait l'ombre douce
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